Lucie Bricteux
À mesure que le paysage du travail social évolue, l'enseignement supérieur est amené à analyser les changements au sein du secteur et à déterminer s'il doit ajuster ses pratiques en conséquence. Les soft skills suscitent, à tort ou à raison, un intérêt croissant dans le milieu professionnel et dans les programmes de formation.
Cette recherche se concentre sur le Master en Ingénierie et Actions Sociales tout en envisageant les soft skills dans un contexte plus global. Elle cherche à répondre aux questions suivantes : Dans quelle mesure les soft skills sont-elles actuellement intégrées dans le Master en Ingénierie et Actions Sociales (MIAS) ? Est-il pertinent de les identifier dans le programme de la formation et à quelle(s) condition(s) ?