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La position de la recherche en travail social dans l’élaboration d’une offre de formation en français langue étrangère. Enquêtes qualitative et quantitative menées au sein d’un Centre d’Insertion Socioprofessionnel liégeois

Tom Malmendier

L’article est produit dans le cadre du Master en Ingénierie et Actions Sociales co-organisé par l’HELMo et la HEPL. Il se structure sous la forme IMRED (introduction, méthodes, résultats et discussion). Le travail aborde la question suivante : « Comment des enquêtes quantitative et qualitative participent-elles à la création de formation en français langue étrangère orientée vers l’activation professionnelle ? ».

L’introduction débute par une brève présentation du lieu de stage ainsi que de la commande confiée à l’étudiant-chercheur. Cette dernière consiste à réaliser une enquête qualitative et quantitative auprès des stagiaires et anciens stagiaires de la formation en français langue étrangère (FLE) de l’ASBL « En Vies d’Avenir ». L’objectif de cette recherche est double : 1.identifier leur motivation à participer à un stage en entreprise au terme de la formation ; 2. évaluer leur intérêt pour la création d’une nouvelle formation davantage centrée sur la visée professionnelle.

Cette présentation se poursuit via une analyse conceptuelle qui permet de clarifier les éléments abordés durant le processus de recherche.

Le point nommé « méthode » propose un résumé de la méthodologie employée pour réaliser les deux types de recherche au cours des deux années de stage. Il propose un résumé des douze étapes ayant permis la réalisation de cette recherche.

Les résultats correspondent à un résumé des informations collectées à l’occasion des deux types d’enquêtes. Les réponses collectées illustrent le réel intérêt des stagiaires de la formation en FLE vis-à-vis de la question du travail en Belgique.

L’ultime point nommé « discussion » est constitué d’une réflexion en deux temps : 1. interroger la place de la recherche en/sur le le travail social pour les travailleurs sociaux et les organisations ; 2. analyser la reconnaissance accordée à l’ingénierie sociale par le monde professionnel face à un tel processus de recherche.


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